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    Visuel Dubost CCCV

     

    Dans le cadre de sa programmation de théâtre contemporain pour la saison 2013/2014, le Centre culturel Cucuron Vaugines (C.C.C.V.) vous invite à découvrir, du 10 au 13 avril 2014, l’univers atypique et éclectique de Patrick Dubost & d'Armand le Poête.

    Parfois on connaît l’un et on a entendu parlé de l’autre. D’autres fois, on se rend compte avec stupéfaction que nous avons affaire à la même personne. Mais qui dans un dédoublement poétique nous offre tantôt le visage de Patrick Dubost tantôt celui d’Armand le Poète.

    Si Patrick Dubost a publié en poésie une vingtaine de livres qui, tout en jouant dans les yeux, demandent à êtres lus à voix haute, ce travail sur l'oralité l'a conduit vers la performance, mais aussi aux rencontres avec le théâtre, la marionnette, ou les univers musicaux (instrumentistes ou électro-acoustiques). Patrick Dubost fait partie des rares auteurs qui écrivent pour le théâtre d’objet.

    Nouveaux poêmes d’amourArmand le Poête, quant à lui, a l’art de la biffure, une syntaxe hésitante, le tremblement émouvant et drôle qui marque chacune de ses tentatives poétiques et calligraphiques. Ses lapalissades sont étrangement subversives : « si un jour on a des enfants ensemble, il faudrait ne pas leur faire lire mes poèmes trop tôt, attendre par exemple qu’ils soient sevrés sur le plan de l’orthographe[1]. » Armand Le Poête a publié une dizaine de recueils de « poêmes », parlant très souvent d’amour. Il écrit à la main. Il ne sait pas sa date de naissance (peut-être qu'il n’est pas né). Il fait des « vidéopoêms », des “poêmétals” et des expositions. Il aime la télé, le foot, Violette (qui est partie) et dormir.

    L’événement Le Poête aux deux visage est porté par le Centre culturel Cucuron Vaugines. Il a été initié par Antoine Gallardo, de la Boucherie littéraire, qui aura à charge la médiation de ses rencontres.

    Programme de ces 4 jours

    avec ces deux auteurs dont on ne sait, bien souvent,

    s’il faut classer leurs ouvrages

    en poésie ou en théâtre.

     

     Jeudi 10 avril 20 h 30

    Rencontre avec Armand le Poête

    Soirée curieuse avec les Vidéopoêms d'Armand le Poête au cinéma le Cigalon, à Cucuron.

    Entrée en participation libre en partenariat avec Basilic diffusion et les éditions Gros Textes.

     

    Armand le Poête est titulaire d'une licence poétique qui l'autorise à conserver l'accent circonflexe du poiêma grec original sur poême, poête et mots dérivés.

    Les « vidéopoêms » sont nés de cette idée d’Armand d’écrire le « poême » sous l’œil d’une caméra, avec apparition de petits objets... Ce qui relève du montage ou du son ou de la musique est réalisé par Laurent Vichard... Laurent Vichard est l’un des musiciens de la Tribu Hérisson avec qui Dubost et Armand sont parfois intervenus...

    Yves Artufel, qui a connu Armand le Poête avant qu’il naisse, est poète et responsable des éditions Gros textes chez qui Armand est publié. Il  animera cette soirée en nous faisant découvrir l’auteur par l’œil de l’éditeur, mais aussi par la voix du poète performeur. Ils nous nous offriront des intermèdes ou chacun répondra à l’autre par l’exploration des textes d’Armand.

    Cinéma le Cigalon

    Salle Art & Essai

    Cours Pourrières

    84160 Cucuron

    Vendredi 11 avril

    Rencontre avec une classe de primaire de Puget-sur-DuranceAmourstoujours (C.E.1) qui aura au préalable été initiée à l’atelier d’écriture poétique. L’ensemble des ateliers repose sur le dernier recueil d’Armand le Poête : Amour(s) toujours[2]. Les enfants partageront à voix haute les poèmes qu’ils auront écrits.

    Vernissage de l’exposition des poèmes des enfants, bibliothèque de Puget-sur-Durance.

    17 h inauguration de l'exposition des poèmes des enfants des classes de C.E.2 et de C.M.1  l'école primaire. Les textes sont issus d'ateliers d'écriture poétique réalisés en écho au recueil Amour(s) toujours d’Armand le Poête, publié aux éditions Gros Textes.

     

    Samedi 12 avril 20 h 30

    Rencontre avec Patrick Dubost en partenariat avec le Vélo théâtre d’Apt.

    5 € (Bus gratuit Cucuron/Apt, départ 19 h 30 – sur réservation au Centre culturel Cucuron Vaugines : 04 90 77 28 31).

     

    EGO NON SUM SED VOS AMOThéâtre objets poésie

    Sous ce titre se cache ce qui n’est pas vraiment un spectacle (ou l’est presque ?). Mais plutôt une lecture performance avec un poète (Patrick Dubost), un marionnettiste diseur (Charlot Lemoine), une japonaise manipulatrice (Fubuki), une figure et son double, le temps sur des roulettes, un seuil à franchir au milieu de nulle part, quelques lumières & quelques sons, des suspensions, une chanson pas finie. Le tout reposant sur un texte tout juste édité pour l’occasion : EGO NON SUM SED VOS AMO (je n’existe pas mais je vous aime)[3]. Ou plutôt des extraits choisis parmi les 147 fragments d’une parole attribuée aux objets, publiés chez Color Gang. Et tout cela dans un lieu : le Vélo Théâtre d’Apt pour un moment unique.

    La série de rencontres que nous proposons a pris naissance dans la simple question : Que devient le poème une fois sur scène ?

    Cette question met l’écriture au cœur de la scène, de ce qui est donné à jouer, à voir, à entendre. Cette poésie interagit avec le public. C’est une passerelle qui se passe de réalité, mais qui permet de créer de l’interhumanité dans un espace prédéfini : le théâtre.

    C’est ce qu’il nous sera donné à voir et à entendre avec les textes de Patrick Dubost au Vélo théâtre

    Vélo Théâtre

    Pépinière d'Entreprise

    Rue Eugène Baudouin

    84400 Apt

    Tél : 04 90 04 85 25

    Dimanche 13 avril de 10 h à 17 h

    Atelier d’écriture : De l’écriture à l’oralité, salle Aubert, Lauris.

    30 € adultes, gratuit pour les 9/18 ans.

    De l’écriture à l’oralité : atelier d’écriture adulte animé par Patrick Dubost, possiblement ouvert aux jeunes à partir de 9 ou 10 ans.

    Écrire sur des processus rythmiques. De l’ancrage du texte dans la voix, le geste, le corps. Des rapports de l’écriture, la lecture à voix haute et les échanges d’énergie. Proposition de l’auteur : une quinzaine de participants maxi... : "On écrit puis on met en voix... jouant sur le rythme et les énergies... dans l’écoute, l’échange, le partage... le jeu, l’amusement, le rire... l’émotion, la surprise... sans s’interdire d’aller parfois jusque vers quelques questionnements métaphysiques..."

    À 16 h : l’atelier sera clôturé par un moment privilégié autour d’un thé lecture des créations des participants, en présence de Patrick Dubost. Salle Aubert, à Lauris

    Entrée libre et et goûter offert.

    L’École Buissonnière tiendra une table des livres de l’auteur sur chacune des rencontre de l’auteur durant ces 4 jours de présence. Elle est par ailleurs partenaire du C.C.C.V. pour l'atelier : De l’écriture à l’oralité.

    Dubost.Antoine-LnP


    [1] Nouveaux poêmes d’amour, Armand Le Poête, La Rumeur libre Éditions, 2008, 14 €  
    [2] Amour(s) Toujours, Armand le Poête, éditions Gros textes, 10 €, 2013  
    [3] EGO NON SUM SED VOS AMO (je n'existe pas mais je vous aime), Color Gang éditions, mars 2013,14 €.

  • claire-rengadeAprès avoir reçu Tarek Essaker, la bilbiothèque municipale de Cadenet propose, dans  le cadre du salon du livre Les Beaux jours de la petite édition, un deuxième rendez-vous avec une auteure publiée aux éditions Espace 34, une des deux maison d'édition à l'honneur cette année.

    Ainsi, le 4 avril à 17 h, la bibliothèque René Char vous convie à une rencontre avec Claire Rengade, auteure de texte de théâtre pour adultes et enfants. La renconte du 4 avril se focalisera sur ses écrits pour la jeunesse. Ainsi elle lira un extrait de la pièce À chaque étage on voit la mer. Ce deuxième rendez-vous se fera également en présence de Sabine Chevallier la directrice éditoriale d'Espace 34. Entrée libre

    Avec des enfants j’apprends tout. Je recommence. C’est un atelier du commencement. Les enfants savent la valeur des mots, ils touchent les mots qu’ils prononcent, ils parlent droit, tout est oral, tout est théâtre, le corps est entier dedans.

    Claire Rengade

    À chaque étage on voit la mer, petite mythologie à dire tout fort pour comédiens et marionnettes

    Le périple de Pitch et Tiote, parsemé de rencontres (avec le loup, la fée, ou encore « plein d’enfants ») les mènent à la recherche de leur mère. L’originalité des dialogues doit beaucoup à la façon dont le langage enfantin subvertit sans relâche la syntaxe et le lexique et à la manière dont les deux enfants s’approprient et commentent le réel par le biais de leur débordante imagination. Les niveaux de lecture satisfont autant le lecteur adulte que les plus jeunes et cette aventure ludique, spontanément poétique, est une réussite.

    Dans une géographie à l’échelle enfantine (où tout est important-grand comme ça), À chaque étage on voit la mer est un voyage-bestiaire du point de vue de l’enfant, qui se frotte naturellement à l’absurde et à la poésie avec grâce. Il s’agit de répondre sans détour à ce qui lui échappe.
    Tiote et Pitch s’inventent à mesure les décors de leur quête, qui mine de rien les mènent à plus devenir plus grands.
    C’est bruyant comme un rêve et intrépide comme un coeur gros.
    Quand ils retrouvent maman, ce n’est déjà plus elle qu’ils cherchent.


    Je cherche dans l’oralité, la parole à vif, la force représentative des mots qu’on invente en jouant. Des mots déjà incarnés.
    J’ai écrit ce texte du point de vue des enfants, en essayant de me rappeler que, comme n’importe quel adulte, je suis un enfant déguisé.
    Mes textes ne sont pas dans l’ordre, la vie non plus.
    J’écris en rond, on entre dans mes textes comme on plonge dans un bain, en se laissant porter par la voix. Ce n’est pas construit à la ligne, mais à l’image.
    Je n’écris pas la ponctuation, parce que l’oral se ponctue ailleurs. Ce n’est pas une coquetterie.
    C’est un texte à dire à plusieurs corps dans un réel sans réalisme.
    Ici, quand on dit, on est. 

    Claire Rengade

    Auteur, metteur en scène-Rengade jeunesse et comédienne, Claire Rengade vit et écrit depuis 2001 entre Lyon et les Cévennes méridionales.
    Elle dirige la compagnie lyonnaise Théâtre Craie depuis 1996 avec laquelle elle a d’abord mise en scène des textes de Philippe Minyana (Chambres), Annie Zadek, (le cuisinier de warburton), William Pellier La Vie de marchandise, Nicolas Bouvier (Poisson- scorpion) et Patrick Kerman (The great disaster). Elle co-traduit et monte trois spectacles à partir de textes alors inédits de Rodrigo Garcia (Notes de cuisines actes 1, 2 et 3).

    Depuis 2001 elle met en scène les textes qu’elle écrit.

    Brassant des thèmes aussi divers que les inondations, les mines de fer, les super-héros, la pisciculture, la culture caprine, la guerre de 1870 ou les industries textiles, Claire Rengade s’attache à un théâtre réel sans réalisme obnubilé par la parole.

    Comme auteur, Claire Rengade est invitée en résidence à La Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon en 2004 et 2006, année où elle écrit Ma plus grande pièce c’est dehors. Elle reçoit plusieurs aides du Ministère de la Culture (2003, 2004, 2005, 2006) et du Centre National du Livre (2004). Ses textes sont inscrits au Répertoire des Nouvelles Ecritures Théâtrales (ANETH) à Paris en 2003 et 2007.

    Claire Rengade est lauréate des journées d’auteurs de théâtre de Lyon en 2003, programmée au festival Première Lignes de la DMDTS à la Comédie Française et aux Rencontres d’été de la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon en 2004. Elle est sélectionnée au deuxième tour du Grand prix du théâtre en 2005 et invitée aux rencontres internationales (Obrador) de la Sala Beckett à Barcelone en 2007.

    Elle dirige en 2008 la classe d’écriture dans le cadre de la Semaine Française du Thalia Theater de Halle Allemagne) et intervient en 2009 au colloque de « Text’avril » au Théâtre de la Tête Noire à Saran.
    Elle est invitée dès 2010 à une collaboration d’écriture franco-allemande entre ces deux théâtres en compagnie de l’auteur Claudius Lünstedt (Grenzgänge(r)/Outrepasseurs).

    Elle créé avec le Théâtre Craie Les terriens, assurez-vous que vous faites totalement autre chose à Château rouge, à Annemasse, en novembre 2011 après une résidence au Cern et un travail de deux années. La pièce tourne à Lyon (NTH8), Vienne, Genève (Théâtre Poche), Lausanne en 2012.

    Crédit photo : Didier Leclerc


  • Les Beaux jours de la petite édition voit chaque année un atelier à proposé aux enfants qui viennent sur le salon du Livre.

    Cette année deux ateliers seront proposés chaque matin du week-end et deux lectures kamichibaï se feront les aprés-midi.

    Pour rappel, les ateliers et les lectures sont gratuits. Généralement, il n'y a pas de réservation, les inscriptions se font sur place le jour même. Le nombre d'enfants par atelier est limité, aussi si vous le souhaitez vous pouvez réserver une place pour votre enfant en "taillant une bavette" avec le Boucher, ci-contre dans la colonne de droite.

    (Cliquez sur l'image pour l'agrandir.)

    Les ateliers

    -AlendaLes enfants de 4 à 9 ans pourront retrouver l'illustratice Émilie Alenda pour un atelier collage le samedi 5 avril à 10 h 30.

    L'atelier s'intitulle "Colle ta recette", il fait référence à son dernier album Mes recettes de cueillette. L'enfant est invité à créer une recette imaginaire grâce à des ingrédients en papier découpé. Il devra ensuite la mettre en scène et la nommer sur le support choisi.

     

    Émilie Alenda eMerci Bonjourst celle qui réalise toutes les affiches du salon depuis sa création. Elle est par ailleurs publiée en éditions jeunesse pour ses albums dont le travail repose sur le découpage et essentiellement aux éditions L'Initiale.

     

    Découvrez ses collages et illustrations ici et .

     

    Fabrique un livreLe dimanche 6 avril à 11 h, l'auteur et illustratrice Pascale Breysse proposera aux enfants, à partir de 7 ans, de fabriquer un livre en papier découpé. Cet atelier sera réalisé autour de l'album Monsieur Jeusétou, paru en aux éditions Bilboquet.

    Les enfants choisiront leurs papiers, puis tirés dans un chapeau des supports d’écrits (phrases à trous, devinettes, charades…) en lien avec une illustration de l’album comme un point de départ pour laisser voyager leur imaginaire. Il s’en est suivi une succession de productions d’écrits comme des fragments de vie imaginaire où leurs personnages imagés ont pris place dans un livre en papier découpé, unique, singulier, à leur image.

    Attirée par -Breyssele dessin dès son plus jeune âge, Pascale Breysse gribouille ses cahiers d’écolière avec gourmandise. Ces instituteurs lui découvrent un côté solitaire, rêveur et imaginaire qu’elle met à profit à l’adolescence en se plongeant dans la littérature et le théâtre tout en inventant un univers graphique et plastique riche en couleurs. C’est en oeuvrant au sein d’une Galerie d’Art qu’elle découvre les Livres d’Artiste et l’illustration jeunesse. Grâce à ces nouvelles rencontres, Pascale Breysse se lance dans l’édition. Son premier album publié aux éditions Du Rocher est suivi d’une quinzaine de parutions où elle écrit, illustre et collabore aux éditions Gründ, Le bonhomme vert, Bilboquet, Gecko Jeunesse, Les petits pas de Ioannis, Lire c’est partir, Auzou. Elle bénéficie d’une Résidence d’Artiste en Auvergne qui lui permet d’enrichir sa créativité, de donner libre cours à ses talents et de créer une exposition d’art contemporain ludique et poétique. Depuis une dizaine d’années, Pascale Breysse anime des ateliers d’Arts Plastiques pour les enfants et les adultes avec l’envie de mieux faire connaitre l’illustration contemporaine et l’objet livre à travers des ateliers croisés écriture/arts plastiques. Ouverte à de nouveaux projets éditoriaux, elle s’engage et participe avec des auteurs contemporains à des collaborations riches et singulières. En 2013, elle réalise une performance de 9 m x 3 m pour le Conseil Général et des dessins géants éphémères 12 m x 3,5 m dans l’esprit du Street Art, le temps du Festival d’Avignon pour La ligue de l’enseignement. Elle reconduit ces expériences monumentales à Vaison la Romaine et à Lapalud, dans le cadre des actions menées Hors la Ville de la Fête du livre de Saint-Paul-Trois-Châteaux. Elle vient d’ouvrir à Avignon, L’Atelier de la Tour, un lieu d’échange et de partage autour de l’illustration, de l’écrit et de l’image...
    Pour aller plus loin, visitez sont blog ici.

    Les lectures kamishibaï

     

    Pipite a disparuSamedi à 14 h 30 et dimanche à 16 h 30 Calouan fera des lectures Kamishibaï  de Pipite a disparu et Ilma n'est pas malade qui sont des petits contes illustrés bilingues de poche publiés aux éditions Zoom dans la collection Les P'tit Bili (présentation de la collection plus bas).


    Petit théâtre d'images d'origine japonaise, le kamishibaïkami (papier) shibaï(théâtre) – est une technique de contage basée sur des images qu’un adulte fait défiler dans un castelet (ou butaï) en bois à trois portes. La particularité du kamishibaï consiste à développer un profond sentiment d’union collective. Ce sentiment, valorisé par le peuple japonais, est réellement ressenti par le public d’ici, même très jeune ; la magie des images qui se laissent dévoiler très progressivement dans un « fondu-enchaîné » provoque des émotions différentes d’un livre que l’on ouvre page après page. La concentration qui se lit sur les visages des enfants montre à quel point ils sont capables d’entrer dans un monde imaginaire riche et d’écouter un texte quelquefois un peu plus long que ceux des albums écrits pour leur âge. 

    Source : ricochet-jeunes.org

    Cette collection, Les P'tit Bili,Ilma n'est pas malade est adaptée aux jeunes lecteurs désireux de découvrir les langues étrangères utilisées au quotidien. Elle sert également d'illustration et d'outil d'exercice aux élèves sensibilisés aux langues étrangères dès l'école primaire. La collection est à ce titre recommandée par le site Primalangues du Ministère de L'Education Nationale Française où les P'tit Bili sont répertoriés dans la médiathèque polyglotte.

    Née en 1967, Calouan a vécu dans différents coins de l’hexagone au cours de son enfance. Elle en a acquis le plaisir de l’écrit pour garder les liens vivants avec ses amis rencontrés çà et là.

    Un plaisir de l’écrit également pour exprimer ses sentiments qui bien souvent la submergent.

    Auteur jeunesse depuis plusieurs années après avoir été enseignante, pigiste, biographe et correctrice professionnelle, Calouan plonge avec délectation dans l'univers de la nouvelle. Après avoir publié deux recueils de nouvelles pour adultes, elle s'essaie à l'écriture de nouvelles en direction de la jeunesse.

    Aujourd’hui, Calouan est régulièrement éditée en presse enfantine et en édition jeunesse que ce soit avec des ouvrages pour petits et moins petits ou des romans ado. Elle prend plaisir à travailler dans les classes où elle écrit pièces de théâtre, histoires, comptines…en retrouvant le bonheur d’une salle d’école. Calouan sera présente les deux jours du salon. Elle signera ses albums, sur le stand de l'École buissonnière. N'hésitez à découvrir le son blog.

     

    Les lectures durant le salon 

     

    En plus des lectures déjà annoncées, le samedi avec Calouan et Pascal Breysse et le dimanche avec Gilles Bontoux (éditions Noir au blanc). Et en plus des rencontres prévues avec Jean-François Durand des éditions du Lampion et Luca Notari des éditions éponyme.


    Ilaria Fontebasso, bibliothécaire,du Lampion lira des extraits de Dans ma maison et Ah tu croâ lors de la présentation des éditions du Lampion , le samedi 5 avril à 16 h 30.

     

    F.LanéelleNous accueillerons également en lecture le samedi 5 avril à 17 h 15 Florence Lanéelle qui présentera son  le conte Djamil, Le crocodile qui perdit ses dents publié aux éditions Parole.
    Florence Lanéelle est une jeune journaliste et musicienne de la région d'Aix-en-Provence. Djamil, Le crocodile qui perdit ses dents est un conte sur les différence illustré par son père. Destiné aux enfants qui ont des parents, ce conte est également un spectacle joué y compris dans les écoles.

    M.ClauwaertEnfin, pour clôturer les rencontres jeunesse nous accueillerons Marie Clauwaer qui nous présentera Xal, le lézard donne sa langue au sorcier un conte de la résilience ordinaire, le dimanche 6 avril à 17 h 15.


    Marie Clauwaer, d'origine belge, est paysanne, relaxologue et professeur de yoga. Xal, le lézard donne sa langue au sorcier est issu de son expérience, publié aux éditions Parole. Xal fait approcher la nature par ses animaux les moins peluches : reptile et chauve souris. Comme tous les livres de la collection Pourquoi ?, le conte est complété par une texte de découverte.